(Alençon) Rapport Chancellerie

Citation :

Bilan diplomatique de l’Alençon :

La Chancellerie alençonnaise est extrêmement bien dirigée en la personne du chambellan Messire Morfalas, qui, malgré le manque d’ambassadeurs notamment à cause de la petite taille du duché qui n’est composé que de trois villages, répond rapidement à toutes les interrogations et demandes des diplomates étrangers ce qui est loin d’être le cas dans certaines Chancelleries. La Chancellerie alençonnaise est en plein essor, qui est caractérisé par une politique de recrutement de bons ambassadeurs, ce qui n’est pas chose aisée selon les dires de Messire Morfalas et surtout par un déménagement dans de nouveaux locaux à l’arrivée du nouveau conseil. Les locaux actuels dans une aile du château alençonnais étant devenus trop exigus devant le développement de la chancellerie.

Les rapports avec le BA sont excellents. Pour preuve, un premier Traité de Coopération judiciaire avait été signé le 14 de juin de l’an de grâce 1454, qui avait conduit quelques mois plus tard, à un Traité d’Entente, signé le 16 d’octobre de l’an de grâce 1454, lorsque Messire Lapinus27 actuel ambassadeur de l’Alençon en Bourbonnais-Auvergne était Chambellan. Plusieurs projets pour rapprocher et favoriser l’entre aide et la cohésion entre nos deux duchés ont été proposés comme une demande de jumelage mais elles n’ont pas encore donné de résultat. Les demandes du Bourbonnais-Auvergne sont toujours étudiées avec attention, notamment concernant la délicate affaire avec Messire Camlebrave, dans laquelle le Chambellan Dame ThémisLaDouce, est intervenue pour demander la démission de l’ambassadeur.

D’un point de vue général, la Chancellerie alençonnaise est très bien structurée. Tous les traités avec les autres duchés sont classés, rangés et accessibles facilement pour tous les citoyens de l’Alençon. Plusieurs de ces Traités sont d’ailleurs en cours de mise à jour, notamment avec le Bourbonnais-Auvergne et un projet de « Traité type » voit actuellement le jour pour simplifier encore davantage les procédures. Preuve de l’essor de la diplomatie alençonnaise, la Chancellerie œuvre aujourd’hui pour un rapprochement des duchés du Domaine Royal.

C’est donc pour résumer une Chancellerie où il fait bon travailler et où l’accueil et la coopération entre ambassadeurs sont de mise afin de permettre à chacun de travailler dans des conditions optimales.

Althiof
le 30 janvier 1455

Pour la liste des personnes importantes de l'Alençon ça arrivera plus tard.

Excellent rapport Althiof ! Merci beaucoup !!

J'ai séparé le sujet pour que vous puissiez rajouter ici-même les prochains rapports sur la Chancellerie Alençonnaise si changements.


Merci encore !

Merci beaucoup Thémis !

Une question je vous vouvoie à la Chacellerie et te tutoie à la prévoté ? Va falloir harmoniser Je propose le tutoiement

Accordé Diplomate/maréchal Althiof

Citation :

Bilan de la politique commerciale de l’Alençon :

Avant de parler de cette politique commerciale à l’import ou à l’export et notamment concernant les restrictions d’importation, il convient de regarder ce que mentionnent les textes de loi de ce duché :



Livre VII – L’Economie

Op2. Les Marchands Ambulants

Art 1. Est considérée comme Marchand Ambulant :
Toute personne vendant ou achetant tout type de marchandises en quantité (supérieure à 10) sur le marché d'un village, alors que sa propriété est située dans un village extérieur à l'Alençon.

Art 2. Les Marchands Ambulants ont obligation de demander l'autorisation du CAC Ducal avant de déposer, ou d'acheter, des matières sur les marchés.

Art 3. Tout Marchands Ambulants n'ayant pas d'autorisation, et achetant ou vendant sur un marché sera accusé d'escroquerie.

Art 4. Tout maire achetant volontairement des marchandises à un marchand ambulant non déclaré ou n'ayant pas reçu d'autorisation de la part du Duché se verra poursuivi pour Trahison[/u]


Op4. Lois sur le commerce

Art 1. Les peaux restent interdites à l'importation sur notre territoire

Art 2. Le fer étant une denrée stratégique, l'exportation en dehors des frontières ou la vente à des fins d'exportation en dehors des frontières est strictement interdite.

Art 2.1. Toute exportation de fer en dehors des frontières sera passible de poursuites pour Trahison et les contrevenants se verront infliger les peines maximales prévues à cet effet.

Art 2.2. Seules les transactions validées par le Conseil et/ou le Duc sont autorisées.

Art 2.3. Le fer destiné à l'exportation ne sera vendu que par le CAC du Duché.

Art 3. Le fer brut étant une denrée hautement stratégique, l'exportation en dehors des frontières ou la vente à des fins d'exportation en dehors des frontières est strictement interdite.

Art 3.1 Toute exportation de fer brut en dehors des frontières sera passible de poursuites pour haute Trahison et les contrevenants se verront infliger les peines maximum prévues à cet effet.

Art 3.2 Le fer brut ne pourra être acheté que par les Mairies ou les forgerons

Art 4. En cas de disette ou de guerre, le Duc/Duchesse peut fixer le prix de certaines denrées ou marchandises vitales ou stratégiques sur tout ou partie du territoire et ceci par arrêté ducal.




Nous pouvons constater que la politique commerciale d’importation de l’Alençon est beaucoup plus souple que celle du Bourbonnais-Auvergne. Seules les peaux sont interdites à l’importation afin de lutter un peu mieux contre la surproduction qui sévit dans tous le Royaume. Le bois, les fruits et le poisson ne sont pas considérés comme des denrées stratégiques et donc libre à l’import. Cependant chaque étranger de l’Alençon se doit d’avoir une autorisation au Cac afin de vendre ou acheter des produits sur un quelconque marché. Sinon il pourra être poursuivi pour escroquerie. Les seules restrictions à l’export concernent leurs seules denrées stratégiques : le fer et le fer brut. Seul le Cac de l’Alençon est autorisé à vendre du fer hors des frontières du duché ce qui rejoint sur ce point la politique de notre duché. Le fer brut est, lui, interdit à l’export et ne sert qu’à fournir les forgerons par l’intermédiaire des maires.

Althiof
le 8 mars 1455